Qui le PSG peut-il donc bien recruter désormais ?

Publié le par Tidiany M'Bo,

© Instagram Lewis Hamilton

Après avoir fait venir le meilleur joueur du monde, le meilleur défenseur de la décennie et le MVP de l’Euro en guise d’apéritif.

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Le meilleur mercato de l’Histoire ? La question se pose aux quatre coins de l’Europe après la dernière prise réussie par le PSG et non des moindres, puisqu’il s’agit de l’un des meilleurs joueurs de la planète, à savoir Lionel Messi. L’arrivée de l’Argentin constitue déjà une forme de cerise sur le gâteau, après les signatures d’Achraf Hakimi, Sergio Ramos, Georginio Wijnaldum et Gianluigi Donnarumma. Mais puisque le PSG semble déterminé à faire main basse sur à peu près tout ce qui se fait de mieux à son poste, il est légitime d’imaginer comment Nasser al-Khelaifi et Leonardo sont susceptibles d’améliorer encore l’équipe et son staff. Car comme le dit un proverbe qatari, “sky is the limit”.

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Lewis Hamilton

C’est une rumeur qui court depuis maintenant 48 heures et l’arrivée de Lionel Messi. Des contacts auraient été noués entre le Paris SG et le septuple champion du monde de Formule 1. Le projet sportif consisterait à lui confier le pilotage du bus du club de la capitale, un modèle de la marque Man, agrémenté de huit écrans télés reliés à des consoles de jeux, disposant aussi d’une antenne satellite et d’une cuisine avec micro-ondes et plaques chauffantes. L’aménagement d’un espace de cryothérapie et d’un court de tennis intégré étant également à l’étude.

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Faire venir Hamilton, c’est l’assurance d’un transfert assuré en temps et en heure entre Troyes, Reims ou Lille le dimanche, et Milan, Zagreb ou Lisbonne le mercredi. Seul obstacle pour l’instant, son salaire de 46 millions d’euros, qui en ferait l’homme le mieux payé du club et le chauffeur de bus le mieux payé d’Île-de-France. Ce qui ne serait pas sans causer quelques remous.

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Thierry Omeyer

Certes, le PSG possède dans ses rangs l’incroyable Keylor Navas, vainqueur de trois Ligues des champions avec le Real Madrid. Gianluigi Donnarumma, MVP du dernier Euro remporté avec l’Italie. Derrière, il y a Sergio Rico, international espagnol et vainqueur de la Ligue Europa en 2014. Mais c’est bien connu, on n’est jamais trop prudents. Alors puisque Alexandre Letellier, le n° 4, ne présente à son actif qu’une carte de visite limitée (22 matches joués depuis 2017 entre les Young Boys de Berne, Troyes, Sarpsborg et Orléans), le PSG envisagerait de compléter son effectif avec l’expérimenté Thierry Omeyer.

Les décideurs parisiens, convaincus par le passage d’Omeyer au sein du PSG handball entre 2014 et 2019, estiment qu’il pourrait apporter son expérience, lui qui a remporté quatre fois la Ligue des champions. Actuellement en poste comme manager du PSG handball, Omeyer serait intéressé par le challenge.

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Michael Jordan

C’est une rumeur qui n’en est pas totalement une, à vrai dire. En effet, des contacts existent déjà entre le meilleur joueur de l’histoire de la NBA et le Paris SG. Depuis 2018, la marque du “Jumpman” habille les maillots du club de la capitale, ce qui a permis à la marque PSG de poursuivre son essor économique, s’affichant sur les épaules des plus grands joueurs NBA, jusqu’à celles du réalisateur Spike Lee, dernièrement présent en France en qualité de président du Festival de Cannes.

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Mais ce partenariat cacherait, en réalité, d’autres intentions du board parisien. Impressionnés par son bilan statistique en carrière, les dirigeants auraient l’ambition d’installer Jordan, 58 ans, à la pointe de l’attaque parisienne. Une volonté née du visionnage de la série The Last Dance l’an passé, dans laquelle ils auraient découvert que Jordan était un basketteur, et non une simple marque.

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Tom Brady

Avec les arrivées de Neymar, Mbappé et désormais Messi, le PSG prouve à qui en doutait sa volonté de conquérir le monde. Mais c’est bien connu, il y a un territoire qui se refuse encore à céder totalement aux sirènes du soccer : les États-Unis. Un défi qui n’effraie pas outre mesure les décideurs parisiens, qui, non sans avoir envisagé diverses stratégies, auraient fini par s’accorder sur le recrutement de Tom Brady.

L’aura du quarterback des Buccaneers de Tampa Bay constitue un argument de poids pour infiltrer le marché états-unien. À l’image de Messi, son salaire de 43 millions de dollars serait rapidement amorti avec l’augmentation des contrats de sponsoring et l’intérêt grandissant des télévisions américaines. Mais pour Brady, hors de question de fouler la pelouse du Parc des princes. À 43 ans, c’est beaucoup trop risqué. Une fois le contrat signé, c’est Ander Herrera qui jouera sa doublure sur le terrain, avec un maillot floqué Brady pendant que l’Américain, lui, évoluera discrètement sous les couleurs de l’AFC Templiers d’Elancourt dans le cadre d’un partenariat.