Aux États-Unis, les footballeuses professionnelles ne toucheront pas leur prime en cryptomonnaie après la faillite de la plateforme

Publié le par Konbini avec AFP,

© Steph Chambers / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP

Ça aurait pu mettre un peu de beurre dans les épinards, mais le marché des cryptomonnaies en a décidé autrement.

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En décembre dernier, la ligue professionnelle de football féminin aux États-Unis (NSWL) a noué un partenariat avec Voyager Digital, une entreprise de courtage et de prêt de cryptomonnaies. Un deal qui devait permettre aux joueuses de recevoir une prime dans une de ces nouvelles devises. Problème, la compagnie a fait faillite en juillet dernier, et la ligue a annoncé aux joueuses qu’elles ne toucheront pas un centime de l’argent qui dormait dans leur wallet. C’est ballot !

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Heureusement pour Megan Rapinoe, Trinity Rodman et les autres, leur salaire leur a été versé en vrai dollar américain. Une valeur sûre, bien plus que le marché des cryptomonnaies, qui a connu quelques secousses ces dernières semaines. Faute de garanties suffisantes, plusieurs plateformes qui ont voulu jouer le jeu des banques en prêtant de l’argent et en rémunérant des dépôts se sont retrouvées dans la tourmente.

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