On a parlé musique, minimalisme et champis hallucinogènes avec Alt-J

Publié le par Chayma Mehenna,

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À propos de cette image, elle rappelle LSD Simulator, un jeu vidéo qui a inspiré celui que vous avez créé pour votre promo. Est-ce que les jeux vidéo font partie de votre esthétique ?
J.N. | C’est plus cohérent de coller à une esthétique. De nos jours, il faut offrir plus qu’un simple site qui annonce les dates de tournées.
Un mot au sujet de Gwil Swainsbury, votre bassiste, qui a quitté le groupe en 2014. Est-ce que vous lui enviez sa liberté à présent ?
G.U.-H. | Nous ne nous sentons pas coincés. C’est intéressant de voir ce que devient Gwil, de voir ce à quoi ressemblerait notre vie si nous arrêtions ou quittions le groupe. Si personne n’avait jamais quitté Alt-J, on pourrait se demander comment cela serait de ne plus faire partie du groupe, surtout lorsque l’on est en tournée et qu’on en a marre. Je n’y ai jamais vraiment pensé, mais c’est assez similaire à ce moment où lorsque le métro arrive, je me demande ce que ça ferait de sauter. Avoir l’exemple de Gwil permet d’avoir une idée de ce que cela pourrait être. Je sais que Gwil est heureux, mais ça me permet de me rendre compte que l’on est satisfait de notre carrière et de ce qu’on accomplit.

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L’album Relaxer est sorti le 2 juin. Alt-J sera en concert à Paris le 23 juillet 2017 lors du festival Lollapalooza.

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