Demon Slayer continue de cartonner et se hisse au sommet du box-office US

Publié le par Lucille Bion,

Le chasseur de démons du film d’animation japonais le plus rentable de l’histoire est encore en train de persécuter le box-office.

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En Asie, Demon Slayer : Le Train de l’infini s’est imposé comme un véritable phénomène lors de sa sortie. En seulement quelques mois, il est devenu le film d’animation japonais le plus rentable du box-office mondial, écrasant Le Voyage de Chihiro du Studio Ghibli. De l’autre côté de l’océan Pacifique, l’anime est en train de se frayer le même chemin vers le succès. Sorti il y a deux semaines sur le territoire américain, Demon Slayer : Le Train de l’infini s’impose aujourd’hui en tête du box-office américain, rapporte Première.
Ces derniers jours, il était en concurrence avec Mortal Kombat, l’adaptation de la série de jeux vidéo sous la houlette de la Warner qui se défendait bien : dès son premier week-end d’exploitation, le film s’est imposé en haut du podium en remportant 23 millions de dollars de recettes en seulement trois jours d’exploitation. À titre de comparaison, Demon Slayer : Le Train de l’infini le talonnait avec 21 millions de dollars. Aujourd’hui, l’anime engrange au total 428 millions de dollars au box-office mondial, selon Box Office Mojo.

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Un chasseur de démons

Réalisé par le studio Aniplex du géant nippon Sony, Demon Slayer : Le Train de l’infinraconte l’histoire de Tanjiro, un adolescent vivant au Japon qui devient chasseur de démons après le massacre de sa famille. Dans cette quête, il va s’associer avec les plus puissants épéistes de l’armée des pourfendeurs de démons pour résoudre un bien grand mystère : celui de la disparition de quarante passagers du train.
L’œuvre combine le parcours initiatique du héros, un thème récurrent des mangas pour adolescents, avec des valeurs positives comme l’amour fraternel, l’amitié et la lutte du bien contre le mal. Voici le trailer du film très attendu, entre plans enneigés, démons endiablés et retrouvailles pleines d’émotion :

Si le succès du film n’est plus à faire, il tarde à la France de découvrir l’œuvre d’Haruo Sotozaki. Le film est daté au 19 mai, jour de la réouverture des cinémas, après une fermeture des lieux culturels depuis plus de six mois.

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