République est devenu un super spot de skate qui vit bien tel qu’il est, il n’y avait pas tellement de sens d’y rajouter quoi que ce soit. Bastille est devenu instantanément un nouveau street spot ou “skate plaza”, un véritable point de rencontre pour les skateboards.
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Pour donner vie à ce nouveau spot, Eniz Fazliov, David Gonzales, Axel Cruisberg, Victor Pellegrin et Vincent Coupeau, fiers représentants de la team Volcom, ainsi que le grand Dustin Dollin, ont entrepris une jolie démonstration, bientôt rejoints par une horde d’autres passionnés désireux de profiter de ce skatepark éphémère.
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Un livre sur la diversité de la scène parisienne
Quelques jours plus tard, le dimanche 12 juillet, les Bastille Days étaient de retour, avec un nouveau projet à nous présenter : De Paris Yearbook. Un livre de photos pensé par Thomas Busuttil, qui offre une vision subjective et plurielle du skate dans le but de conserver la mémoire de moments qu’on ne voit que trop rarement dans la presse, comme ce dernier le rappelle :
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Le fait est que dans les magazines, il n’y a aucune place pour ce genre de choses : il n’y a pas forcément de rubriques ou tout simplement pas de place, pas de temps… De Paris Yearbook ne met pas l’accent sur la performance du skateur, mais sur tout ce qu’il y a autour.
Le livre est chronologique et 38 photographes y participent. C’est un livre qui utilise l’œil de tous ces photographes qui sont passés à Paris et qui ont documenté à leur manière le skateboard parisien. Et c’est cette diversité des regards qui permet d’avoir une idée réelle sur ce qui se passe vraiment.
À 21 heures, les sportifs s’autorisaient une pause le temps de la diffusion en plein air de Deuxième vague, une vidéo de vingt-sept minutes mise en forme par Guillaume Périmony et qui accompagne De Paris Yearbook. Et là encore, le caractère éclectique de la scène parisienne, que l’on constatait sur le spot de Bastille, y était souligné avec grâce.
Envolez-vous pour le skatepark de The Berrics à Los Angeles
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