Alissia Lohéac, aide-soignante à Montpellier, n’a pas hésité une seconde à prendre le train jusqu’à Paris pour venir en aide aux hôpitaux saturés lors du pic de l’épidémie de coronavirus.
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Elle a travaillé de jour comme de nuit dans le service de réanimation de l’hôpital Tenon (APHP). Force vive dans ce combat contre une épidémie qui a fait près de 30 000 morts en France, la jeune femme ne touchera pas pour autant la prime, délivrée aux soignants mobilisés pendant la crise sanitaire.
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Pour la jeune femme, c’est la goutte d’eau. Partagée entre sa passion pour son métier et un besoin de tourner la page, elle nous raconte sa déception.
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