Le 8 mars est une journée de lutte, pas une journée où l’on “attend des hommes de notre entourage qu’ils nous envoient un petit message avec un émoji rose pour nous dire : ‘Hey, bonne fête !'”
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Si cela semble évident, de nombreuses marques profitent pourtant de cette journée pour échafauder des opérations marketing hallucinantes (promotions sur le parfum et le maquillage pour “la journée de la femme”, par exemple) ou un “feminism washing” peu discret.
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Pour dénoncer ces pratiques et rappeler l’importance de cette journée de lutte pour les droits des femmes, l’actrice et scénariste Marion Séclin revient sur l’écart salarial entre les femmes et les hommes, les inégalités en tout genre, les féminicides, les combats à mener et le chemin qu’il reste encore à parcourir…
“Si tu veux être reconnu comme féministe, fais des choses pour faire évoluer ce problème d’inégalités et ne nomme pas des potes à toi, comme Darmanin, au gouvernement.”
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Devoir de mémoire, sensibilisations, mobilisations et manifestations : le 8 mars est une journée que notre société de consommation patriarcale ne doit pas pouvoir s’approprier.