Ces images édifiantes ont été révélées par l’association L214. Dans cette exploitation, seuls les mâles sont gardés parce que le foie des femelles est plus veineux. Elles sont donc toutes mises dans une caisse et laissées à l’agonie : elles meurent de faim ou d’étouffement. Les mâles, quant à eux, se font brûler la pointe du bec pour éviter les blessures.
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Après quelques semaines d’élevage, ils sont gavés à la pompe pneumatique, avant de finir à l’abattoir. Ils sont plongés vivants dans un bac d’eau électrifiée et sont ensuite saignés. Parfois, certains sont encore conscients.
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