“Ce sont surtout les touristes qui maintiennent le commerce de viande de baleine.”

En réaction à la décision de l’Islande de reprendre la chasse à la baleine, Lamya Essemlali, fondatrice de Sea Shepherd France, a accepté de venir nous parler de son combat pour la préservation de la vie marine. L’ADN de Sea Shepherd ? Pour la jeune femme, c’est véritablement “l’intervention et empêcher concrètement le braconnage.” “Il s’agit vraiment de passer à l’acte et d’intervenir”, explique-t-elle, tout en martelant deux règles majeures : “Ne jamais blesser personne et intervenir uniquement contre les activités illégales.”