À cause de la pandémie, cette dame se retrouve avec 130 000 barres de chocolat sur les bras

Publié le par Robin Panfili,

© Canadian Candy Nostalgia

Une accumulation due à un retard de livraison.

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Si le drame de la crise sanitaire mondiale semble aujourd’hui derrière nous, les conséquences de la pandémie sont encore une bien triste réalité pour certains. Crystal Regehr Westergard fait partie de ces victimes collatérales qui souffrent encore des affres et des ravages de Covid-19.

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Celle qui a fondé la société Canadian Candy Nostalgia, avec l’ambition de redonner vie à des confiseries oubliées, se retrouve aujourd’hui confrontée à un challenge de taille : écouler près de 130 000 barres chocolatées. Ces chocolats, commandés pendant la pandémie à une entreprise étrangère, ont été livrés avec un important retard, à tel point qu’ils sont aujourd’hui sur le point d’atteindre leur date de péremption – qui arrivera en juin prochain. Très populaires dans les années 1980, ces barres chocolatées Rum & Butter doivent donc trouver preneur en peu de temps.

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Si elle reconnaît avoir peut-être vu un peu trop grand, Crystal Regehr Westergard a fait part de son inquiétude auprès de différents médias anglo-saxons. Elle a un seul objectif : écouler les (immenses) stocks avant d’être contrainte de tout mettre à la poubelle. Si elle a bien fait plusieurs dons à des banques alimentaires, associations et même clubs sportifs, cela n’a pas eu beaucoup d’impact sur le stock gargantuesque qui lui reste sur les bras.

Jusqu’à… il y a quelques jours. Les interventions de la fondatrice dans les médias semblent avoir fait leur petit effet puisque plusieurs associations se sont manifestées pour récupérer des cartons de barres chocolatées. À tel point qu’aujourd’hui, toutes les boîtes ont trouvé preneur. Tout est bien qui finit bien.

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