On sait pas trop quoi faire de cette info : une table dépense 160 000 balles chez Salt Bae

Publié le par Robin Panfili,

© Nus Ret

Une quinzaine de convives ont récemment vidé leur portefeuille chez Salt Bae.

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Ce n’est plus une surprise : le restaurateur et ancien boucher turc, Salt Bae, est un habitué des polémiques. Entre notes salées et pièces de viande inutilement recouvertes de feuilles d’or, celui qui s’appelle en réalité Nusret Gökçe est parvenu à bâtir un petit empire sur ces extravagances dont on peine à comprendre le sens. La dernière en date ? Une addition colossale délivrée dans son restaurant d’Abou Dabi, capitale des Émirats arabes unis.

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La note du dîner en question s’est élevée à plus de 615 000 dirhams des Émirats arabes unis, soit près de 160 000 euros. Si certains ont attribué cette addition aux pilotes Formule 1, qui couraient récemment dans la capitale, ce n’est a priori pas le cas – ils auraient plutôt choisi de dîner dans un restaurant étoilé de la ville. À l’heure où nous écrivons ces lignes, l’identité des quatorze convives n’est pas connue, mais le contenu de l’addition, oui.

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Pour la nourriture, ces derniers ont opté pour du carpaccio de bœuf (315 euros) et différentes pièces de viande rouge enrobées de feuilles d’or (4 980 euros), suivis de différents accompagnements : des “fleurs d’oignons” (84 euros) ou des frites (47 euros). Pour le dessert, les onze loukoums leur sont revenus à un peu plus de 1 000 euros, tout comme les quinze baklavas (1 535 euros).

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Dans cette immense folie, le prix de l’eau reste sûrement l’une des dépenses les plus raisonnables, contrairement aux cocktails qui auront permis de faire grimper la note encore un peu davantage. Mais le pire reste sûrement le prix du vin. En s’accordant sept bouteilles de Petrus – dont deux à 26 000 euros pièce – et un Château Margaux, les convives sont arrivés à une addition de près de 160 000 euros.

L’intérêt de tout ça ? Bonne question.