Ça fait un bail : on a regoûté aux Balisto

Publié le par Pharrell Arot,

(© Konbini food)

Alors, ça vaut le coup de s’offrir un voyage dans le temps ?

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On n’est pas tous nés sous la même étoile, et on connaît tous un amigo qui est né sous celle où on fait latin-allemand LV1-Balisto-jamais-les-Kinder. Alors quand le brillant multicasquette Guiguipop s’est récemment targué d’une story sur la barre de ceux qui gardent leur matériel de camping à portée de main, on a eu une envie profonde de regoûter les trois parfums distribués dans l’Hexagone. Alors, maintenant qu’on n’a plus 12 ans, ça vaut le coup, les Balisto ?

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(© Konbini food)

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Des fruits secs, un biscuit friable à la manière des digestives dont les Anglais sont friands et une pellicule de chocolat au lait. On est loin du caramel des piliers du genre, même si la barre est bien fabriquée, elle aussi, par le groupe Mars. Mais à la première bouchée, ça fonctionne pas mal. Le chocolat est trop sucré, le biscuit un peu trop ordinaire, mais il y a ce petit truc, surtout sur la version aux fruits rouges, qui donne tout son charme au Balisto : une acidité un peu lactique, qui donne des faux airs de dessert maison à cet ovni industriel.

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Juste à la bonne taille, avec son emballage désuet aux couleurs Ricola, le Balisto est comme un vieux pote de fac d’histoire : on le croise rarement à la Fashion Week mais on peut toujours compter sur lui pour de bonnes anecdotes et un Nutri-Score E.

Balisto, autour de 2 euros les dix barres en grande distribution.