C’est la rencontre entre un personnage de Star Trek et l’immensité des recherches offertes par Google.
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Récemment, le producteur de The Walking Dead David Alpert était revenu sur les origines de Lucille. L’occasion d’en apprendre davantage sur le passé du nouvel antagoniste de la série, Negan. Negan… Non mais sérieusement, et son nom à lui, on en parle ? Avez-vous déjà entendu, que ce soit en section de maternelle ou en primaire, un camarade de jeu de billes s’appeler Negan ? Aux États-Unis, plus de dix millions de téléspectateurs suivent chaque semaine ses exploits macabres sans connaître le sens de son nom. Heureusement, ce bon vieux Robert Kirkman a dévoilé son choix concernant le prénom tarabiscoté du pire méchant de The Walking Dead.
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Dimanche, juste après la diffusion de l’épisode “Hearts Still Beating”, le producteur et plusieurs acteurs de la série étaient présents dans le Talking Dead de AMC. Quand l’animateur lui pose la question à propos de l’origine du nom de Negan, Robert Kirkman répond alors apprécier les prénoms qui n’en sont pas vraiment. En d’autres termes, Robert Kirkman n’est pas du genre à piocher dans un registre pour s’inspirer. Non, il préfère utiliser son imagination et les recherches hasardeuses faites sur des moteurs de recherches comme Google pour façonner un prénom.
“Je voulais juste que le prénom induise la négativité du personnage. Pendant un long moment, je l’ai appelé Nagus, un prénom qui m’est venu comme par enchantement. Mais apparemment, c’est le leader des Ferengis de Star Trek: Deep Space Nine. Du coup je me suis dit : ‘Bon, je peux pas l’appeler Nagus, ce n’est pas grave, Negan ça sonne bien.'”
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Effectivement, le Grand Nagus était un personnage de la série Star Trek pendant les années 1990. En y repensant, Nagus et Lucille auraient formé un couple moins sexy et barbare que l’actuel. Robert Kirkman n’a pas apporté plus de détails sur la transformation du prénom Nagus en Negan. Certains y verront une nouvelle démonstration de son imagination débordante, d’autres penseront à une connexion directe avec la néga(n)tivité du personnage. Une chose est sûre, on n’a pas fini de voir les survivants trembler en entendant ce prénom, aussi absurde soit-il.