Un photographe raconte sa dépression à travers des images oniriques

Publié le par Lise Lanot,

© Arseniy Neskhodimov

Loin des clichés, Arseniy Neskhodimov a documenté sa dépression, dans une série intitulée Prozac.

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À bientôt 40 ans, Arseniy Neskhodimov souffre de dépression depuis vingt ans. Son travail photographique conceptuel combine des quêtes visuelles et identitaires. Lauréat du concours photo Wellcome, c’est sa série Prozac qui a convaincu le jury. Celle-ci est consacrée à son expérience personnelle de la dépression :

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“Mes portraits constituent pour moi une sorte de thérapie qui m’aide à lutter contre les attaques de désespoir et les pertes de sens que je rencontre, surtout en ces temps de pandémie. J’ai été coincé chez moi, sans boulot, depuis trois mois et la seule chose qui amenait un peu de sens dans ma vie, c’était de prendre des photos”, a-t-il confié.

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“Prozac”. (© Arseniy Neskhodimov)
“Prozac”. (© Arseniy Neskhodimov)

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“Prozac”. (© Arseniy Neskhodimov)
“Prozac”. (© Arseniy Neskhodimov)
“Prozac”. (© Arseniy Neskhodimov)

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Vous pouvez retrouver le travail d’Arseniy Neskhodimov sur son site et son compte Instagram.