Jusqu’au 8 septembre 2019, le Palais de Tokyo se transforme en une ville imaginée à partir des modèles d’“archi-villes” fourmillantes et connectées, telles que Téhéran, Mexico, Manille, Dacca et Lagos.
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La cinquantaine d’artistes invités, pour la majorité originaire d’une des cinq villes inspirant l’exposition, livre des œuvres et des médiums variés exprimant leur vision du monde contemporain.
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L’artiste nigérian Aderemi Adegbite, qui travaille particulièrement avec la photo et la vidéo, présente au sein de “Prince·esse·s de la ville” des photographies issues de son travail personnel, ainsi que des images d’archives de son pays.
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Déjà auteur de documentaires sur “des événements politiques au Nigéria”, tel que le rapporte le Palais de Tokyo, Aderemi Adegbite propose dans le musée parisien une incursion en images au sein de la société nigériane et des problématiques sociales inhérentes à cette dernière. Les parallèles créés par les tirages rassemblés par l’artiste ouvrent la voie à de multiples pistes de réflexions concernant son pays autant que le reste du monde.
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Vous pouvez retrouver le travail d’Aderemi Adegbite sur son site et sur son compte Instagram. L’exposition “Prince·esse·s des villes” est visible au Palais de Tokyo jusqu’au 8 septembre 2019.
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