Plongée dans l’univers onirique de La fille renne

Publié le par Marie Campistron,

© La Fille Renne

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“J’avais vu des photographes en faire avec plein de recettes différentes, et obtenir des résultats étonnants, donc j’ai voulu tester ma propre recette (ici avec du bleu de méthylène). Cela donne une autre atmosphère, une toute autre réalité aux clichés. J’espère faire rêver les gens avec cela.”

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Une technique expérimentale : le “film swap”

Cette touche personnelle confère à son univers, une touche poétique. De cette série mettant à l’honneur la jeune modèle Louise Bluregard, se dégage également une mélancolie tendre que l’on décèle à travers les poses et le regard du mannequin.
D’autres clichés, toujours avec le même modèle, ont été réalisés grâce à un “film swap”,  une technique de surimpression de différentes pellicules, permettant d’obtenir des résultats surprenants. Au sujet de cette pratique, l’artiste explique :

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“Je fais régulièrement des “film swaps” avec des photographes du monde entier, c’est une autre façon de voyager et de collaborer. Un des photographes expose une pellicule, puis l’envoie au second, qui l’expose à nouveau pour obtenir des doubles expositions. Il y a beaucoup de hasard dans cette pratique.”

Des influences plurielles