Le 1er mai 1995, pendant l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle, Brahim Bouarram, un immigré Marocain de 29 ans, était jeté dans la Seine par des militants d’extrême droite, en marge du défilé annuel du Front national. Vingt-deux ans plus tard, son fils Saïd lui rend hommage devant la plaque commémorative placée au niveau du pont du Carrousel.