Le dispositif de bagagerie permettra aux sans-abri de déposer leurs objets ou papiers mais aussi de déposer leurs sacs et effets personnels volumineux lors de rendez-vous administratifs par exemple. Certains services sociaux n’autorisant pas toujours les bagages au sein de leurs locaux.
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Un service, mais pas d’assistanat
Cette initiative vise à faciliter la réinsertion des personnes sans domicile et non l’inverse assure-t-on à l’ASAR :
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“Le but n’est pas d’installer quelqu’un dans la rue. […] Avec notre soutien, les bénéficiaires devront faire preuve de bonne volonté pour s’en sortir. Si ce n’est pas le cas, le prêt de casier ne sera pas reconduit”, détaille M. Mecheta.
Au total, la ville de Rouen devrait accueillir ce système de casiers dans six quartiers différents actuellement à l’étude par l’association et la municipalité. Leur fermeture s’effectuera à l’aide d’une clé et les casiers seront placés sous vidéosurveillance. Ils seront attribués par l’association pour une durée de six mois renouvelable.
Une seconde expérimentation de ce type devrait voir le jour à Caen courant 2018.
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