Un jeune graffeur mort pour une peinture aux États-Unis

Publié le par Tomas Statius,

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Aujourd’hui, on peut mourir pour avoir tracé un trait sur un mur.
Et dire cela n’est ni diffamatoire, ni une critique cinglante de la brutalité policière à travers le monde. Juste un état de fait, confirmé par une morbide histoire qui s’est déroulée voilà deux jours sur les rivages ensoleillés des côtés floridiennes.

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“L’art ne vaut pas le coup que l’on meurt pour lui”

“L’art ne vaut pas le coup qu’on meurt pour lui”

N’ayant aucun antécédent cardiaque ni de membres de sa famille consommateurs de drogues (circonstances pouvant expliquer son décès après l’application d’un voltage si faible) Israel Hernandez est mort sur les coups de six heures du matin, soit une heure après son “interpellation” musclée.

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