Grève des coursiers : “Il faut éviter que l’ubérisation se propage”

Publié le par Astrid Van Laer,

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“Lorsqu’il y a peu de courses comme en ce moment, l’été, il y a beaucoup de livreurs qui passent quatre ou cinq heures sans être payés.”

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Lors de la dernière semaine de la Coupe du monde de football, les coursiers Deliveroo ont décidé de protester contre leurs conditions de travail et le système de rémunération à la course. Jean-Daniel Zamor est coursier chez Stuart. Il participe au mouvement social et nous explique ses revendications : “la garantie d’un minimum horaire” et de “faire en sorte qu’il n’y ait plus personne qui soit dans une astreinte gratuite”. Pour le jeune homme, il faut à tout prix “se battre pour éviter que l’ubérisation se propage”.

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