Le personnage en question avait découvert des “numéros passerelles” qui lui permettait de contourner certains numéros surtaxés. Selon Les Échos, il s’était donc retrouvé un jour sur le numéro de la Banque de France via Skype, où, par une démarche un peu étrange, il en était arrivé à rentrer leur code d’accès…

…Et un peu comme le premier code PIN sur Nokia 3310, il avait rentré 123456, et c’était le bon, selon Me Hélène Laudic-Baron – son conseil à l’AFP.

Même un gamin aurait pu pirater la Banque de France. Le superhacker a été relaxé, et, comme certains d’entre-vous le savent probablement, le Canard enchaîné avait révélé que plusieurs sites internet ministériels n’avaient, à l’époque, pas non plus été aussi bien sécurisés. Probablement en mode admin admin.