Dans les longs trajets en transports, lorsqu’il m’arrivait de regarder quelqu’un, au bout d’un bon moment à contempler cette personne, je n’arrivais plus à savoir si elle était belle ou laide.
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Une purée de chair
Le visage comme un paysage
Originellement réalisés pour être exposés en cadres d’un mètre par un mètre, ces portraits sont destinés à un format carré très resserré autour du visage afin qu’on ait la sensation que celui-ci “déborde”. David Fitt détaille ce choix :
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C’est comme ça qu’il remplit le mieux l’espace et qu’on peut enfin essayer de le sortir du contexte, l’extirper du “reste” : de l’harmonie d’un corps, et contempler sa texture, l’appréhender comme un paysage.