Daisy Ridley, révélée par Star Wars, raconte son combat contre l’endométriose

Publié le par Arthur Cios,

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Dans un long post Facebook, l’actrice britannique révélée par le dernier Star Wars a annoncé être atteinte d’endométriose.

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L’endométriose est une maladie gynécologique qui demeure bien trop méconnue, même si elle touche tout de même une femme sur dix et est à l’origine de près de la moitié des règles douloureuses. Il s’agit de la démultiplication des cellules utérines en dehors de l’utérus.

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De plus en plus de personnalités, de Whoopi Goldberg à Lena Dunham, parlent de la pathologie afin que cette dernière soit plus facilement diagnostiquée et que les chercheurs se penchent plus dessus. La dernière en date n’est autre que Daisy Ridley, Rey de Star Wars : Le Réveil de la Force, annonçant sa maladie dans un long post Facebook rempli d’espoir.

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“À l’âge de 15 ans, on m’a diagnostiqué l’endométriose. Une endoscopie de l’abdomen, de nombreuses consultations et huit ans de traitement plus tard, la douleur est revenue (plus faible cette fois) et ma peau est dévastée. J’ai tout essayé : produits, antibiotiques, plus de produits, plus d’antibiotiques. Et la seule chose que ça a provoqué, c’est que mon corps est un peu saccagé.

On m’a finalement diagnostiqué un syndrome des ovaires polykystiques, ce qui explique pourquoi ma peau est dans cet état. Je peux vous assurer que de se sentir tant complexée là-dessus a réduit ma confiance en lambeaux. Je déteste porter du maquillage, mais actuellement, je ne veux pas sortir de chez moi sans. Cependant, il y a du progrès. Avec l’aide d’un dermatologue et d’un régime (waah, sauf pour des glaces inopinées) et réduire ma consommation de sucre (plus grand waah encore, mais il faut bien faire ce que tu dois faire). Enfin. Enfin. (Tout au long de ça, je n’ai que des gens incroyables autour de moi, m’encourageant et me faisant occasionnellement réaliser que j’étais ridicule et qu’il y avait des choses plus importantes)…

Là où je veux en venir, c’est que vous tous/toutes qui souffrez de quelque chose, allez chez le médecin, payez un spécialiste, faites des test hormonaux, faites des tests d’allergie. Restez alertes sur ce que votre corps ressent et n’ayez pas peur de passer pour un(e) hypocondriaque. De votre tête jusqu’au bout de vos orteils, vous n’avez qu’un corps, assurons-nous qu’il fonctionne dans les meilleures conditions, et de demander de l’aide si l’on en a besoin.”

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