Climat : 28 fois où le présentateur météo Philippe Verdier s’est pris pour Edward Snowden

Publié le par Ariane Nicolas,

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Sur sa démarche

  • J’ai délibérément opté pour un parti pris iconoclaste et quelque peu provocateur dans le but de rétablir des vérités.
  • Une pression sans précédent s’est exercée depuis plus d’un an sur les médias et principalement les journalistes météo.
  • Mon livre me range automatiquement du côté des parias ou des sceptiques.
  • Laurent Cabrol doutait hier du réchauffement, je doute aujourd’hui de ceux qui s’en occupent […]. L’irrévérence de mon collègue m’apparait aujourd’hui comme un acte éclairé.
  • Les éditions Ring m’ont donné carte blanche pour publier cet essai avec une liberté absolue et l’unique volonté de m’encourager pleinement dans mon acte personnel de désobéissance civile.
  • Pour dépasser le simple point de vue de présentateur météo, je décidai d’inflitrer les conférences climatiques.

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Sur le rôle des gouvernements

  • L’information climatique de référence est aujourd’hui complètement verrouillée par les gouvernements.
  • Les Etats organisent l’information scientifique sur le climat. Ils la frelatent, la distordent, l’amplifient ou l’atrophient à volonté.
  • Quel engouement pousse la communauté scientifique à courir après les records hasardeux ? Une pression politique ?
  • Le climat est devenu la soupape de sécurité des pouvoirs.
  • Même quand les politiques confondent météo et climat, les scientifiques n’oseront jamais les contredire.
  • Cessons de laisser les gouvernements s’emparer de la question du réchauffement.

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Sur les travaux des scientifiques

  • Il convient de s’interroger sur la puissance de lanceur d’alerte du Giec.
  • La raison d’exister du Giec est l’expression d’une voix unique pour étouffer la contestation.
  • La liberté de parole du Giec est quasi-nulle.
  • Les scientifiques qui s’aventurent hors des sentiers battus du Giec sont automatiquement considérés comme des sceptiques, ils risquent ainsi leur avenir professionnel.
  • Avantages, conflits d’intérêts, corruption, scandales sexuels : les climatologues sont devenus des animaux politiques.
  • Le Giec se soucie-t-il d’un code de déontologie pour ses dirigeants ? Evidemment non !

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Sur l’ONU et la diplomatie

  • Celui qui n’applique pas à la lettre les commandements onusiens et ses produits dérivés se sent menacé en retour d’une punition divine.
  • La diplomatie climatique a manifestement ravalé ses ambitions.
  • La communication de Barack Obama incita Laurent Fabius à vouloir manipuler les présentateurs météo pour assurer sa promotion.
  • Les énergies renouvelables constituent une menace grave à notre sécurité énergétique.
  • Les Nations unies jouent un double jeu dangereux.

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Sur l’avenir

  • Le citoyen doit retrouver sa liberté de pensée et d’action.
  • L’espace de liberté du citoyen est réduit à néant.
  • Les citoyens du monde peuvent facilement et légitimement s’inquiéter pour leur avenir, mais il devient urgent de ne pas céder à ce sentiment de panique artificiellement provoqué.
  • Le monde, ainsi libéré de la pression exagérée et décalée des conférences des Nations unies, abordera vigoureusement la question climatique en adulte éclairé et volontaire.
  • L’action motivée d’un individu, puis d’un groupe, initie toujours de nouveaux modèles sociaux.

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