Chris Brown est désormais libre et crie au complot

Publié le par Guillaume Narduzzi,

©Instagram/Chris Brown

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Le chanteur américain est sorti de sa garde à vue et ne cesse depuis de clamer son innocence.

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Placé en garde à vue lundi à Paris après des accusations de viol, Chris Brown est sorti hier soir sans qu’aucune poursuite judiciaire ne soit pour l’instant engagée. Le rappeur américain de 29 ans avait fait l’objet d’une plainte pour viol. Une jeune femme de 24 ans l’accuse d’avoir abusé d’elle dans son hôtel du Ier arrondissement de la capitale française, lors de la nuit du 15 au 16 janvier.

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Il était accusé de “viol aggravé” – un de ses amis et son garde du corps étaient également suspectés d’abus sexuels – et “d’infraction à la législation sur les stupéfiants”. Mais les trois hommes sont sortis libres mardi 22 janvier, comme le rapportent l’AFP et le site américain TMZ, et peuvent même quitter le pays. L’avocat de Chris Brown, Me Raphaël Chiche, explique que l’artiste “proteste énergiquement de son innocence” et lui a demandé de porter plainte pour diffamation “en raison de la calomnie dont il fait injustement l’objet”.

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I WANNA MAKE IT PERFECTLY CLEAR...... THIS IS FALSE AND A WHOLE LOT OF CAP! NNNNNNNNEEEEEEEEEEVVVVVVVVVVEEEEEERRRRRR!!!!!! FOR MY DAUGHTER AND MY FAMILY THIS IS SO DISPRESPECTFUL AND IS AGAINST MY CHARACTER AND MORALS!!!!!

Une publication partagée par CHRIS BROWN (@chrisbrownofficial) le

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Sur Instagram, la réaction du principal intéressé ne s’est pas fait attendre. Dans un post assassin, il affirme : “This bitch lyin'” (“Cette sal*pe ment”). En légende de ce cliché explicite, Chris Brown avance : “Je veux être parfaitement clair… Ceci est faux et je le dis avec beaucoup de majuscules ! JAMAIS ! Pour ma fille et ma famille, c’est irrespectueux et en contradiction avec ma personnalité et mon éthique !!”

Même si on ne fera aucune remarque sur “l’éthique” d’un chanteur capable de défigurer sa compagne, accusé à plusieurs reprises d’abus sexuel et habitué aux frasques en tous genres, le parquet de Paris a tout de même indiqué qu’une enquête se poursuivait sous la tutelle de la police judiciaire de Paris (1er DPJ).