1971 – 2013. C’était Lance Armstrong. Après des années d’investigations menées notamment par l’Agence Française Anti Dopage et l’USADA (l’agence américain anti-dopage), et des charges médiatiques de toute part, le cycliste américain a avoué le 14 janvier dernier sur le plateau d’Oprah Winfrey avoir utilisé des produits dopants au cours de sa carrière. Cataclysme pour celui dont le palmarès était au moins aussi fourni que le casier judiciaire de Chief Keef.
Mais c’est aussi un chambardement médiatique pour une des pupilles de l’Amérique. De par ses prises de positions politiques, et son investissement associatif (en ce qui concerne la lutte pour le cancer), il était plus qu’un sportif. Une personnalité politique, une icône adulée dont la parole comptait. Dans la bataille, Lance a perdu plus que ses titres : la face.
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