À la suite de l’attentat du 22 mars, les forces de l’ordre britanniques jouent la transparence afin d’apaiser au mieux l’inquiétude des citoyens.
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Les réseaux sociaux peuvent souvent être un lieu déprimant et effrayant après le choc d’une attaque terroriste. Les gens y canalisent leur confusion, leur colère et leur tristesse dans leurs commentaires, créant un climat d’autant plus inquiétant en pleine tragédie.
Maintenant qu’il a été confirmé par la BBC que quatre personnes ont été tuées – l’officier de police Keith Palmer, deux piétons et l’assaillant – la police de Londres continue d’informer le public de ses progrès sur les réseaux sociaux.
“Une centaine d’inspecteurs ont travaillé toute la nuit. Ils se sont rendus à six adresses différentes et ont procédé à sept arrestations. #AttaqueDeWestminster”
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Alors que plusieurs blessés sont toujours dans un état critique, la police a demandé aux médias de ne pas révéler le nom de l’attaquant, qui aurait agi seul. Les rapports préliminaires suggéraient en effet qu’il avait un complice qui se serait échappé dans la voiture utilisée lors de l’attaque, mais cette hypothèse a depuis été démentie.
“Nous pensons toujours que l’attaquant a agi seul durant l’attentat de Westminster hier et qu’il a été inspiré par le terrorisme international.”
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“[Nous continuons] à demander aux médias de ne pas donner le nom de l’attaquant tant que nous sommes à un stade sensible de notre enquête.”
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“Mark Rowley, commissaire adjoint de la police de Londres : ‘Ce jour est incroyablement sombre et triste et je partage, à juste titre, la fierté que je ressens pour la réaction rapide et courageuse de nos officiers.'”
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Ces extraits du dernier communiqué de presse de Scotland Yard et les mises à jour continues montrent que les réseaux sociaux peuvent être utilisés de manière positive.
Traduit de l’anglais par Sophie Janinet