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André Manoukian, Mustapha El Atrassi : les nouveaux chroniqueurs du Grand Journal

André Manoukian, Mustapha El Atrassi : les nouveaux chroniqueurs du Grand Journal

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André Manoukian, le nouveau venu au Grand Journal

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Par Konbini

Publié le

Selon des informations de Konbini, voilà quels seront les chroniqueurs sur le (nouveau) plateau du Grand Journal à partir de la rentrée prochaine.

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C’est le secret le mieux gardé de la rentrée télé. À quoi ressemblera le Grand Journal de Canal+ à la rentrée ? Le talk-show, vitrine de la chaîne cryptée, sera le dernier îlot de clair (deux heures par jour) dans un océan de programmes cryptés. Enjeu énorme, mais communication minimale. L’émission démarre à la fin du mois, les équipes sont convoquées le 22 août et, pour le moment, aucune info officielle n’a été divulguée, excepté que les Guignols seraient de retour en clair, selon des informations du Parisien.

Comme les années précédentes, l’émission devrait être divisée en deux parties : la première en clair, concentrée sur l’actualité, la seconde, cryptée, davantage axée sur la culture. Victor Robert, le nouveau présentateur qui a été choisi pour piloter l’émission, a participé activement à l’élaboration du casting de ceux qui le rejoindront chaque soir, autour de la table, dont Konbini vous dévoile quelques noms en exclusivité.

Mustapha El Atrassi : le sniper

Sur le calendrier du théâtre du Point Virgule, Troisième degré, le show stand-up de Mustapha El Atrassi, est inscrit jusqu’en décembre, les lundis et mardis à 21 h 15, en sus du dimanche. L’humoriste arrivera t-il à tenir le rythme avec son nouvel emploi du temps cathodique ?

Selon une collaboratrice du Grand Journal, le demi-finaliste du concours de l’homme le plus drôle du monde (Laugh Factory, Los Angeles, 2014) jouera les snipers, aux côtés de Victor Robert, chaque soir.

Il retrouve ainsi les plateaux télé, quatre ans après l’arrêt de son émission sur NRJ 12, La nuit nous appartient. Et au passage, son ancien boss, Gérald Brice-Viret. L’actuel directeur de Canal+ avait fait le pari du late show en 2009.

Ornella Fleury : la nouvelle Miss Météo

Ornella Fleury sera la nouvelle Miss Météo du Grand Journal, qui renoue ainsi avec une tradition d’humoristes pour cette séquence. La jeune femme de 29 ans au visage mutin est inconnue du grand public.

À la ville, elle est aussi la compagne de Mustapha El Atrassi. Elle a été recrutée avant lui, mais aucun casting météo n’a été réalisé. La comédienne, qui avait déjà passé des tests les années précédentes pour Canal, a simplement été appelée.

André Manoukian : la caution philo de la bande

Autre profil haut en couleur, avancé par un autre collaborateur : la présence d’André Manoukian autour de la bande de chroniqueurs. L’ex-membre du jury de la Nouvelle Star reste donc dans le groupe Canal+, après avoir fait part de sa tristesse sur Twitter début mai concernant l’arrêt du télécrochet de D8, faute d’audiences.

André Manoukian, pianiste, grand connaisseur de l’histoire de la musique, est aussi connu pour ses envolées lyriques et ses références aux lointains philosophes.

Axelle Laffont : le programme court autobiographique

Le programme court, marque de fabrique du Grand Journal, a été confié à Axelle Laffont, qui jouera son propre rôle, 16 ans après avoir été la Miss Météo la plus déjantée de Canal+, dans Nulle part ailleurs. Son programme devrait être diffusé au moins deux fois par semaine. Le tournage a démarré en juillet à Paris. La comédienne a posté quelques photos sur son compte Instagram.

3eme jour... @hafidfbenamar @arnaud_mizzon @nadiafossier

Une photo publiée par axellelaffont (@axellelaffont) le

Les premières apparitions seront celles de Lou Lesage (chanteuse et comédienne vue dans LOL) ou Raphaël Kahn (FranceKbek sur OCS). Ce dernier, qui incarne le professeur de Yoga d’Axelle Laffont, avait d’ailleurs été casté il y a deux ans pour la Météo – Canal avait envisagé cette année-là un Mister Météo – et son nom avait été inscrit sur la short list des présentateurs potentiels. On lui avait finalement préféré Raphaëlle Dupire.

Article écrit par Eva Mendoza