Votre mission, si vous l’acceptez : protéger la Terre des formes de vie extraterrestre.
À voir aussi sur Konbini
Ces six dernières années, les télescopes ont permis de découvrir près de 4 000 planètes potentiellement habitables au sein de notre système solaire, ce qui a conduit les chercheurs à admettre que nous n’étions peut-être pas tout seuls au sein de notre univers.
Ces recherches de formes de vie extraterrestre seraient si proches de parvenir à leur but que la Nasa cherche à recruter une personne capable de défendre la Terre contre celles qui seraient potentiellement hostiles.
L’agence spatiale américaine a posté une offre d’emploi sur le site gouvernemental USAJOBS. On peut y lire que le poste est ouvert au public et que les personnes recrutées auront pour mission de protéger la Terre d’organismes et de matières organiques qui pourraient être ramenées de missions spatiales.
Interested in @NASA's opportunity to become a Planetary Protection Officer?! Vacancy is open! Learn more on @USAJOBS https://t.co/qj10DH6s3M
— NASA People (@NASApeople) August 2, 2017
Pour ne rien enlever à la difficulté, les missions sont censées revenir sur la Terre et dans sa biosphère avec des échantillons prélevés lors d’explorations extraterrestres. Votre devoir serait donc de protéger la Terre des menaces provenant de visiteurs intentionnels ou non, comme une sorte de douanier intergalactique.
Les candidats seront auditionnés sous la houlette du département sécurité et assurance de la Nasa, dont la mission est “d’éviter les risques de contamination organique ou biologique dans les missions spatiales humaines et robotiques”. Il vous faudra également veiller aux politiques internationales de protection planétaire et participer au lancement de prochaines missions spatiales…
Votre salaire ? 160 000 dollars par an, soit environ 140 000 euros. Ah, aussi, il faut “aimer voyager”.
Lots of buzz today about our Planetary Protection Officer position, check out what our office actually does! https://t.co/fp5KUe7UpT pic.twitter.com/Tf8fEYZqpc
— NASA People (@NASApeople) August 2, 2017
