Andrea Bocelli s’était proposé pour chanter à la cérémonie d’investiture du 45e président des États-Unis le 20 janvier 2017. Il n’y sera finalement pas.
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Andrea Bocelli, pas assez bien pour le nouveau président des États-Unis ? Apparemment. Selon le New York Times, Donald Trump aurait décliné l’offre du chanteur lyrique italien, qui s’était proposé pour chanter lors de la cérémonie d’investiture présidentielle le 20 janvier prochain.
La semaine dernière, des rumeurs circulaient sur la présence du ténor, mais ont elles ont été démenties, mardi 20 décembre, par l’organisateur de la soirée, Thomas J. Barrack Jr. En interview sur le plateau de CNBC, ce dernier a mis fin aux spéculations qui ont affolé les tabloïds (dont TMZ, évidemment) :
“L’équipe de Bocelli a contacté [Donald Trump] et lui a dit : ‘Écoutez, si cela peut vous rendre service, si vous souhaitez que l’on joue pour vous, nous pouvons l’envisager.’ Et Donald a répondu : ‘Nous n’en avons pas besoin. Nous ne sommes pas dans ce genre de cadre. Merci infiniment pour cette offre. Tu es mon ami et tu seras toujours le bienvenu à la Maison-Blanche.'”
Donald Trump, fui comme la peste
Ce refus est doublement étonnant : d’abord parce que Donald Trump est réputé pour apprécier la musique d’Andrea Bocelli. Ensuite, parce que le républicain ne trouve personne à inviter pour chanter lors de sa petite sauterie. Bruno Mars, Elton John, Justin Timberlake… Tous ont refusé ou ignoré la proposition du président élu.
Seule la finaliste du télécrochet American’s Got Talent, Jackie Evancho, a accepté d’entonner l’hymne américain le mois prochain à la Maison-Blanche.
Mais une autre version de cette histoire circule dans les médias, qui la relaye sur Internet, notamment les sites Page Six et The Daily Beast. Apparemment, sous la pression de ses fans, Andrea Bocelli aurait changé d’avis, de peur de les décevoir et de ruiner son image. Ce ne serait donc pas Donald Trump qui aurait refusé, mais bien le ténor italien qui aurait renoncé à s’afficher aux côtés du 45e président des États-Unis. “Sad, sad, sad.”
