À quand la même chose avec un Vélib’ parisien ?
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Les “Boris bikes” sont l’équivalent londonien de nos Vélib’. Comme les nôtres, ils ne sont pas très sexy mais ils sont robustes. C’est ce que Chris Astill-Smith a décidé de tester en emmenant l’un de ces vélos dans un voyage hors du commun. Dans une vidéo de deux minutes postée sur YouTube, il chevauche son vélo municipal dans presque le monde entier : en Amérique, en Europe, en Inde et aux Émirats arabes unis.
On le voit notamment rouler à New York – sur Times Square, près de l’Empire State Building et enfin du côté de la Trump Tower. Il passe ensuite devant l’hôtel Bellagio de Las Vegas, avant de traverser le pont du Golden Gate à San Francisco. Toujours muni de son increvable vélo, il visite le Colisée à Rome, le Louvre à Paris, et se fraie un chemin parmi les pousse-pousse en Inde, avant de faire la course avec des chameaux près du Burj Al-Arab de Dubaï.
L’étrange cycliste finit son voyage à Douvres, sur la côte anglaise, où il dévoile les intentions louables de son périple : attirer l’attention sur l’association Dreams Come True. Chris Astill-Smith compte ne pas en rester là : il a prévu de traverser la Manche à la nage pour cette même association, qui aide les jeunes atteints de maladies graves à réaliser leurs rêves. Vous pouvez d’ailleurs soutenir la cause en allant par là.
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D’après les estimations du site Londonist, son voyage en bicyclette aurait dû lui coûter la modique somme de 850 euros. Mais, de fait, Chris Astill Smith n’a payé qu’une amende de 360 euros pour avoir volé le vélo. L’entreprise en charge des “Boris bikes” (dont le surnom vient de Boris Johnson, l’ancien maire de Londres qui les a mis en place) l’a contacté pour lui demander où il avait laissé son vélo, afin de lui proposer un petit contrôle technique.
