“Ces investigations complémentaires ont montré que de nombreux lots portaient en fait d’anciennes étiquettes mentionnant la présence de substances interdites alors même que les produits avaient été reformulés et n’en contenaient plus.”
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Cependant, deux des fabricants sont accusés d’avoir “poursuivi l’utilisation et la commercialisation de ces conservateurs interdits dans la formulation de leurs produits cosmétiques”. La DGCCRF conclue en indiquant qu’elle transmettra prochainement des procès-verbaux d’infraction à la justice. Au vu de ces très inquiétantes révélations, elle assure vouloir maintenir “une vigilance renforcée sur ces sujets”.