adidas crée les nouvelles règles du sport dans une arène futuriste
adidas crée les nouvelles règles du sport dans une arène futuriste

adidas crée les nouvelles règles du sport dans une arène futuriste

Par Konbini avec adidas

Publié le

Lundi 24 octobre, ils avaient entre 15 et 18 ans et de la créativité à revendre sur le playground de la Creators Arena. Un tournoi de football, basket et handball dans une pure ambiance où les participants ont pu, en prime, rencontrer leurs sportifs préférés… et chanter avec MHD.

Un playground futuriste de 10x15m quasi-futuriste, baigné de lumière au néon, transformable à souhait en terrain de hand, de foot ou de basket, changeant en temps réel avec les actions des joueurs grâce à un système avancé de caméras et de détecteurs de mouvement placés sur les participants.

Dans ce contexte futuriste inédit, plus d’une centaine de jeunes joueurs sont venus tenter de réinventer leur sport, montrer qu’ils peuvent être les futurs stars de demain. Si le dôme avait vue sur la Tour Eiffel, le public avait les yeux rivés ailleurs.

Roucoulettes, dunks et petits ponts

Les participants ne cachent pas leur plaisir d’y aller freestyle. Ça fait des roucoulettes au handball, ça claque des dunks au basket, ça met des petits ponts au football. Chacun de ces gestes techniques valent plus de points qu’un but ou un panier.

La créativité prime, encore une fois. “Les filles, faut tenter des petits ponts, faut faire des roulettes!” encourage Danma, chaperon chargé d’encadrer les joueurs au bord du terrain. Et en coulisses, ça se chambre tranquillement lorsqu’une joueuse du Red Star croise sa future adversaire : “On joue contre vous après? On va vous mettre un TARIF!”

“Presque de la science-fiction!”

“C’était magique!” lâchent à l’unisson les lyonnaises Malaury, 15 ans, et Daina, 16 ans, victorieuses du tournoi de football filles avec leur équipe des Fenottes, les “petites fennecs”. “C’était un endroit moderne. Presque de la science-fiction!”, poursuit Malaury.

Juan, 17 ans, est lui arrivé en finale du tournoi de foot garçons avec son équipe de United, défait par… City. Ça ne s’invente pas. Il raconte le plaisir qu’il a pris à évoluer sur la surface interactive :

“On a l’habitude de jouer sur des city-stades mais là, c’est quand même plus intense. Ce petit terrain, c’est cool pour nous parce qu’on est petits. Ça oblige à être technique et ça nous avantage.” “C’est énorme. La salle, le terrain… Ça nous booste!”, résume Yanik Blanc, joueur de basket de 17 ans représentant l’équipe des Backdoor.

Une playlist de feu

Dans les tribunes, ça bouge, ça chante, ça danse au rythme du DJ set. Au programme : hip hop, hip hop, hip hop pour donner un supplément de move aux joueurs. “Le MC fait des bonnes blagues! Le DJ a mis des musiques qui tuent, il me faut la playlist!”, s’extasie Marie, 16 ans et handballeuse du pôle de Châtenay-Malabry.

Les deux autres potes de son équipe, Nami et Maylis, 16 ans également, ont participé au concours de danse organisé sur le terrain, durant lequel Mani a remporté le maillot dédicacé de Damian Lillard, joueur des Portland Trail Blazers : “Ils sont généreux, chaleureux! L’organisation est super!”

Un 3 contre 3 avec Teddy Riner

Mais le meilleur est encore à venir. A 20h pétantes, venus observer les prestations des finalistes de chaque épreuve, les stars du sport débarquent en trombe sur le terrain de la Creators Arena : Teddy Riner pose un petit dunk, Moussa Sissoko est acclamé, Audrey Tcheuméo lâche un petit pas de danse et Earvin Ngapeth a le sourire jusqu’aux oreilles.

S’ensuit un petit trois contre trois improvisé au foot. Évidemment, personne ne va chercher Riner à l’épaule. En revanche, Fourcade le biathlète justifie le hashtag de l’évènement, #heretocreate, en glissant un petit pont à Thierry Omeyer.

Un show à l’américaine

Resté sur le banc de touche, Nikola Karabatic livre son ressenti sur cet évènement unique :

“C’est du lourd. Avec ce playground où tu peux faire des trois contre trois et des grands sportifs pour te regarder, ça ressemble à un show à l’américaine. En plus, avec vue sur la Tour Eiffel, il n’y a pas mieux comme endroit!” Forcément, son frère Luka lui emboite le pas :

“On voyait que les gamins avaient les yeux qui pétillaient, qu’ils avaient envie de montrer ce qu’ils valaient.”

Les finales avant le final MHD

Des yeux qui pétillent plus encore lorsque MHD débarque pour ambiancer la Creators Arena. Le public entier connait les gimmicks du rappeur, de même que les paroles de son tube Afrotrap part. 3.

De son côté, Danma a rempli sa mission.

“Ça reste un évènement pour les jeunes donc c’est important de les motiver pour profiter du moment. Ça n’est pas tous les jours qu’ils ont un évènement pareil. Moi, j’ai jamais connu ça. C’est un truc de fou”, développe le chaperon, avant de raconter la belle histoire du jour:

“L’équipe de United est arrivée en finale alors qu’elle n’était pas censée être là au départ. Ils ont perdu mais en vrai, ils ont gagné parce que faire un évènement pareil, c’est génial. Honnêtement, t’es allé jusqu’à la fin, t’as un concert de MHD après… T’as profité, non?”